« … Dans le geste de chaque danseur, il y a du désir, de la colère, de l’agressivité, de la passion, de la frustration.. mais aussi une forme de résistance à l’oppression. Les corps au plateau ont l’élégance et la fulgurance d’un boomerang lancé dans les airs… »
Prune Vellot, les affiches de grenoble, 27 janvier 2017
« … Jouant du décalage entre douceur et violence, la danse tient souvent du corps à corps aussi brusque que vite défait, dans des impulsions brusques et des ralentis soudains. Bien sûr, on peut voir dans ces rapports sans concession un reflet de notre monde tout de bruit et de fureur, où l’agressivité n’a d’égale que l’indifférence.
La gestuelle est inventive et dépasse très largement le cadre du seul hip-hop… »
Agnès Izrine, 1er décembre 2016, dansercanalhistorique.fr
« … En cercle ou solitaires, s’affrontant ou tous unis devant un même danger, les huit interprètes dévelopent une danse à la fois très ancrée dans le sol et d’une grande légèreté. Leurs mouvements s’éclairent par réciprocité, dans un enchaînement de scènes tantôt agressives, tantôt plus délicates et sensibles. On admire la technique et la créativité des ces interprètes, choisis pour leur personnalité et leur aptitude à développer, à partir d’un thème on ne peut plus rebattu, des propositions et une gestuelle originales… »
Isabelle Calabre, décembre 2016, ballroom n°12
« … Bouba Landrille Tchouda reste fidèle à sa recherche d’une danse politique qui questionne ce qui fait ou détruit la société. Fidèle à ce que fut le hiphop à ses origines, une danse qui laisse la place à l’expression humaine… »
Martine Pullara, 8 novembre 2016, lyon capitale