Ce spectacle réunit une troupe de huit danseurs dont l’énergie est intense et contagieuse, tout comme leur envie d’en découdre et d’abattre les obstacles, sautent aux yeux. Animés par le goût du jeu et du défi, les danseurs se lancent dans un simulacre de courses et de luttes où ils cherchent à prendre le dessus pour vaincre et surtout continuer à vivre. En réponse à la violence inscrite dans notre humanité, les huit interprètes créent à corps perdu des rituels dansés comme autant de chavirements, fulgurances et foudroiements.
Distribution
Chorégraphie Bouba Landrille Tchouda /Interprétation Aïda Boudrigua, Jeanne Azoulay / En Alternance, Eddy Cadiche, Aurélien Collewet « Biscuit », Aline Corrêa, Sonia Delbost-Henry, Michel « In-Hoon » Galmin, Alexandra Jezouin, Jim Krummenacker / Dramaturgie Olivier Hespel / Scénographie Rodrigue Glombard / Lumière Fabrice Crouzet / Costumes Claude Murgia / Musique Yvan Talbot / Diffusion Mitiki – Bertrand Guerry
Coproduction Maison de la danse – Lyon / Mc2 Grenoble / Ccn de Grenoble / Château Rouge Annemasse / Grand Angle Voiron / Avec le soutien du Pacifique | Cdc – Grenoble / Le Centre Chorégraphique National de Grenoble dans le cadre de L’accueil Studio 2016, La Spedidam, L’adami / Remerciements Centre Culturel L’ilyade – Seyssinet / Espace 600 – Scène Régionale- Grenoble
Photos
Crédit photos : Fabrice Hernandez
Presse
« … Une heure de danse politique et engagée, où se mêlait avec bio le hip-hop, le mouvement et la pratique contemporaine(…) Une violence et du mouvement incarnés par les huit danseurs répondant aux sons électroniques entêtants. Un spectacle dont on ne ressort pas indemne… »
Le dauphiné libéré – voiron 23 novembre 2017
« … Dans le geste de chaque danseur, il y a du désir, de la colère, de l’agressivité, de la passion, de la frustration.. mais aussi une forme de résistance à l’oppression. Les corps au plateau ont l’élégance et la fulgurance d’un boomerang lancé dans les airs… »
Prune Vellot, les affiches de grenoble, 27 janvier 2017
« … Jouant du décalage entre douceur et violence, la danse tient souvent du corps à corps aussi brusque que vite défait, dans des impulsions brusques et des ralentis soudains. Bien sûr, on peut voir dans ces rapports sans concession un reflet de notre monde tout de bruit et de fureur, où l’agressivité n’a d’égale que l’indifférence. La gestuelle est inventive et dépasse très largement le cadre du seul hip-hop… »
Agnès Izrine, 1er décembre 2016, dansercanalhistorique.fr
« … En cercle ou solitaires, s’affrontant ou tous unis devant un même danger, les huit interprètes dévelopent une danse à la fois très ancrée dans le sol et d’une grande légèreté. Leurs mouvements s’éclairent par réciprocité, dans un enchaînement de scènes tantôt agressives, tantôt plus délicates et sensibles. On admire la technique et la créativité des ces interprètes, choisis pour leur personnalité et leur aptitude à développer, à partir d’un thème on ne peut plus rebattu, des propositions et une gestuelle originales… »
Isabelle Calabre, décembre 2016, ballroom n°12
« … Bouba Landrille Tchouda reste fidèle à sa recherche d’une danse politique qui questionne ce qui fait ou détruit la société. Fidèle à ce que fut le hiphop à ses origines, une danse qui laisse la place à l’expression humaine… »
Martine Pullara, 8 novembre 2016, lyon capitale