28 rue Ampère 38000 Grenoble
tél. : +33 (0)4 76 40 15 97
contact@ciemalka.com
Magnum est un artiste interprète spécialiste en break dance et faisant partie du Crew Chasseurs de Primes de Paris. Ses 15 dernières années de pratique ont été perfectionnée par les échanges et les voyages qu’ils essaient de provoquer. Le danseur tourne actuellement avec la Compagnie Montalvo, Kafig et Malka.
Depuis l’âge de 5 ans, il est passionné par l’art de la danse. Du breaking à la danse contemporaine, Madak est à la fois interprète et chorégraphe. En 2014, il forme sa compagnie Zion B-Boyz basée en Martinique avec laquelle il créé en 2019 « Chut ! Je vis 2.0 ». Il travaille et joue avec les compagnies, Kameleonite de Marlène Myrtil, Cie Chrikiz de Amine Boussa et plus récemment avec la compagnie Malka dans le cadre du projet BreakDO. En solo, il créé en 2022, « Rétrograde », dans le cadre de la Biennale de la danse à Tropiques Atrium (Scène Nationale de Martinique) et en 2023 « Corpo Matéria » avec laquelle il tourne dans le territoire guyanais pour Danses en Territoires. Le danseur martiniquais a été récompensé à plusieurs reprises dans le break, il est triple champion régional de Breaking (2021, 2022, 2023) et champion afro-caribéen en 2022.
Ismaël est un jeune breakeur, membre de 9000 Styles, collectif particulièrement actif sur la scène break belge. Avec ce groupe, il danse pour la première fois dans une pièce chorégraphique, The Rebirth en 2023. L’année 2023 sonne comme un moment de succès dans la carrière du jeune belge qui est récompensé comme meilleur breaker de Belgique au Red Bull BC One Cypher Belgium. C’est également l’année avec laquelle il débute son travail avec la compagnie Malka pour BreakDO.
Son parcours se résume à l’amour de la danse et la musique qui commence dès son plus jeune âge. En 2011, il intègre le milieu artistique avec les New Youth Posse et se spécialise dans le break en 2012.
Il reste inspiré par toutes les formes danses qui le font vibrer en lui amenant cette liberté qu’il ne trouve pas ailleurs, plus qu’un art, la danse est une façon de vivre.
Grâce à sa persévérance et son envie d’en apprendre plus, il a pu travailler avec des chorégraphes tels que Mourad Merzouki, Babacar Cissé, Emilie Capel, Jerome Ferron, Bouba Landrille Tchouda et d’autres.
Adepte des battles et de cette rage qui s’y dégage, il trouve la douceur dans la création, deux aspects de la danse qui pour lui sont complémentaires.
Lexx s’est formé depuis 2017 à la danse contemporaine et hip-hop, ce qui lui a permis de travailler dans divers projets, avec les compagnies Ego, Last Squad, La Mangrove ou Malka. Ce qui n’empêche pas le danseur d’être aussi très actif dans des projets performatifs ou des battles de break dance.
Spécialiste en B.boying (Break-dance), Clément James a commencé la danse à l’âge de 12 ans. Dans un premier temps, les entraînement de Clément James avaient pour optique de le préparer aux battles. C’est en novembre 2016, lorsqu’il commence un travail de création en duo avec le chorégraphe Hamid Ben Mahi qu’il se découvre un intérêt à « danser au service d’un propos » et qu’il commence à travailler dans l’univers de la création chorégraphique. Depuis il a œuvré avec une dizaine de compagnies dans plus de 15 pièces.
Hugo Ciona rencontre la danse au contact du chorégraphe Babacar Cissé à l’âge de 16 ans. Il développe une gestuelle axée sur l’approche du sol via les techniques de breakdance « abstract », sous la houlette de son mentor Sabri Colin. Hugo rencontre le chorégraphe canadien Andrew Skeels AU Théâtre de Suresnes pour la création Finding Now puis rejoint la compagnie Kafig. Il travaille également avec Bouba Landrille Tchouda sur le spectacle Barulhos.
Julia Derrien a commencé sa pratique de la danse en 2011 en suivant des cours techniques dans des écoles privées. Sa passion pour cet art l’a conduite à explorer une diversité de styles de danse. Trois ans plus tard, elle choisit de se professionnaliser à Lyon. Depuis, elle collabore avec des compagnies de renom telles que Labaraka, Chute Libre et Malka, naviguant entre la danse contemporaine et le hip-hop tout en laissant sa propre empreinte artistique, caractérisée par une hybridité et une ouverture constante à de nouvelles inspirations, telles que le Tai chi, les danses sociales etc Parallèlement à son travail sur scène, Julia s’investit dans l’enseignement de la danse, animant des cours et des ateliers pour divers publics.
Aïda débute son parcours artistique dès l’âge de 12 ans avec Josette Baïz et le Groupe Grenade. Elle va grandir dans cet univers et va s’inventer un langage chorégraphique unique mêlant danse contemporaine, classique, jazz, hip hop et danse orientale. En 2007, elle fait la rencontre de Bouba Landrille Tchouda, directeur artistique de la compagnie Malka. Elle est interprète dans plusieurs de ses créations, Regarde-Moi, Meia Lua, un Casse-Noisette, Barulhos. Elle intervient également en tant qu’assistante-chorégraphe sur certaines productions de la compagnie comme OCNI [Objets Chorégraphiques Nouvellement Imaginés] ou BreakDO.
Phynox, également connu sous son vrai nom Patrick Flégeo, est un danseur originaire de LorientIl a découvert sa passion pour la danse en 2006 et a rapidement commencé à se forger une expérience en participant à des compétitions de danse hip-hop internationales en intégrant le groupe Wanted Posse.
Sensible à l’art du mouvement et à la fluidité, il a développé son propre style qui cherche constamment un équilibre entre l’ancrage et les fondations, le poussant à dépasser les limites de son corps.
En 2015, il a décidé de se concentrer davantage sur le monde de la scène, ce qui lui a permis de construire un réseau dans le milieu chorégraphique où il est devenu danseur et interprète pour plusieurs compagnies telles que Hybride, Chute Libre, Malka Flowcus, Lola Gatt et Carna…
Jules Rozenwajn fait ses premiers pas dans le breakdance vers l’âge de 15 ans en suivant son cousin dans les halls où s’entraîne le Bruxel’Air crew (à l’origine de la Cie No Way Back). C’est sans relâche et avec persévérance qu’il consacrera la plupart de son temps et de son énergie à s’entraîner à la maîtrise et à l’apprentissage de ses mouvements. Parallèlement, il expérimente une autre discipline du Hip-Hop : le Graffiti. Le tag l’amène à développer son art avec précision et à reproduire des gestes jusqu’à maîtrise de son exécution.
Il prendra part aux créations de compagnie No Way Back/Milan Emmanuel « La danse des Anges Rebelles » et « Abstrkt » ainsi qu’à « Dress Code » produit par la Cie Abis/Julien Carlier et Barulhos de la Compagnie Malka.
Killian Drecq s’inscrit en 2012 en MJC à son premier cours de breaking. Il est aujourd’hui danseur interprète spécialisé en breaking, art nourri par la pratique régulière des battles et de l’entraînement en autodidacte ; il cultive aussi une appétence pour les acrobaties, l’électro, le jazz roots et la danse contemporaine. Il intègre le groupe Nextape en 2015, l’année où il gagne son premier battle. Il créé son premier solo en 2019. En 2022, il travaille avec la Cie Malka pour Barulhos, puis en 2023 dans la Cie Käfig sur le spectacle de Mourad Merzouki « Beauséjour ».
Après l’obtention de son diplôme d’études chorégraphiques en 2010 à Grenoble, elle part à Lausanne où elle intègre la compagnie junior du Marchepied. Cette formation lui permet de travailler avec divers chorégraphes suisses notamment Marco Cantalupo et Katarzyna Gdaniec de la compagnie Linga, Filbert Tologo et Corinne Rochet et Nicolas Pettit de la compagnie Utilité Publique.
Annelise intègre en 2013 la compagnie Alias pour la trilogie Distancia avec les pièces Sideways rain , Jetuilnousvousils et Antes. Elle interprète également Stress Biology , pour la compagnie Utilité Publique. En 2015, elle rejoint The Flying Fish Orchestra, un collectif pratiquant le Soundpainting, un langage de signes, universel et multidisciplinaire, permettant la composition en temps réel. En 2017 Annelise rencontre le chorégraphe Dai Jian, et intègre alors la compagnie Maioui Danse Arts à Lyon et participe aux projets Work in Progress et MO.
En 2018, Annelise souhaite développer son attrait pour le hip hop et participe au projet Vies violences mené par Bouba Landrille Tchouda.
En 2019 Annelise rencontre la chorégraphe Karine Saporta à Ouistreham et participe aux créations de JOY , pièce avec musique vivante Irlandaise et de L’immaculée , pièce théâtrale d’après le roman de Florence Aubenas, « Le quai de Ouistreham ». Attirée par la création Annelise est membre fondateur de la compagnie grenobloise Aux Pieds Levés.
Razy Essid, comme beaucoup de danseurs, apprend le hip hop en autodidacte. Séduit depuis tout jeune par les acrobaties, il se passionne très vite pour les figures techniques au sol, le break. Il crée avec une dizaine de copains le « Crevard Crew » avec qui il participe à de nombreux battles dans toute la France. Razy, alias bboy « Fever », se fait remarquer par son style atypique et son aisance innée et intègre alors « La Smala », équipe de danseurs bordelaise qui le prend sous son aile. Avec ce nouveau crew il participe aux Championnat de France, d’Europe et même du monde en 2010 où Razy termine troisième. Actuellement, membre du crew Last Squad, il devient champion du monde de break dance 2019.
Parallèlement à ces compétitions il participe à plusieurs créations artistiques, avec la compagnie nantaise Turn Off The Light : performance scénique qui allie la danse, la musique et la calligraphie lumineuse, la compagnie X-Press sous la direction artistique de Abderzak Houmi pour les spectacles Face à Face / La tête à l’Envers / contact # 1, et plus récemment avec la compagnie BurnOut dirigée par la chorégraphe Jann Gallois, pour le spectacle Reverse.
Noah Mgbélé Timothée, surnommé « Ekilibro », est un danseur chorégraphe et interprète camerounais, né à Yaoundé. Dès son plus jeune âge, il se passionne pour le dessin et le cirque. En 2005, il découvre le breakdance par le biais de la compagnie Sn9per cr3w qu’il intègre la même année. Dès lors il se consacre au hip-hop et développe un style original et percutant qui lui est propre. Depuis 2010, Il évolue professionnellement et remporte plusieurs compétitions et concours chorégraphiques tels que : – « Mboa Contest » en 2010, « Yafé Festi » en 2011, « Urban Zone » en 2012, « Battle Underground » en 2013, « Kmer Dance Station » en 2014, « Battle National Cameroun » en 2014 et en 2015, « Battle Of The Year Cameroun » en 2016. En 2013, il élargit son domaine de prédilection et s’intéresse à la création chorégraphique, il suit des formations auprès des chorégraphes les plus réputés d’Afrique tels que Salia Sanou, Serge Aimé Coulibaly, George Momboye, Merlin Blériot Niakam et bien d’autres.
En 2014, il co-chorégraphie avec sa compagnie (Obosso) « Intégration et en 2015 son solo « Parcours ». En parallèle, il collabore avec des artistes musiciens et joue dans la comédie musicale « RUE 1113 »
Après plusieurs années d’investissement intense dans ses projets artistiques, Noah Mgbélé reçoit avec sa compagnie des distinctions honorifiques telles que le prix découverte 2016 du Goethe Institut et le prix de la Créativité artistique de l’Union Européenne. Puis en 2017, la médaille d’or lors des Jeux de la Francophonie à Abidjan, dans la catégorie Danse hip hop.
Il pratique en autodidacte le Parkour, le Freerunning, la Capoeira et le Tricks pendant plus de 4 ans. Cela nourrit encore aujourd’hui sa sensibilité artistique.
Quelques années plus tard, il rencontre à Bordeaux une troupe de Capoeira, Cordao de Ouro. Pendant deux ans, il bénéficie auprès d’elle d’un enseignement de qualité et d’une fraternité qui lui fait comprendre l’importance des autres, des compagnons, des structures tant physiques que morales.
C’est à travers d’une année à l’aventure dans un tour d’Europe de l’Ouest, qu’il découvre le plaisir de la scène, de la diffusion de ses idées, de ses passions, et le partage de soi à travers des spectacles de rue. Lui vient alors l’envie d’en faire son métier. Thomas intègre l’école de cirque de Bordeaux puis l’École nationale des arts du cirque de Rosny-sous-Bois (Enacr) et le Centre national des arts du cirque de Châlons-en-Champagne (Cnac). Il se spécialise dans ce que l’on pourrait nommer « l’Acro-Mouvement » qui se focalise principalement sur le corps comme seul outil, accompagné par une scénographie au service de la proposition artistique. Son objectif ? Affiner sa qualité du mouvement et d’écriture et pouvoir associer les deux pratiques pour en faire un ensemble harmonieux.
Voyageant du sol au debout, Jeanne Azoulay possède une danse percutante et instinctive, inspirée de différentes esthétiques, un style hip hop hybride et singulier. Autodidacte, son parcours se nourrit des collaborations avec des compagnies très diverses, la Cie Ego d’Eric Mézino pour la pièce Catch Me, les compagnies Cortex et Massala/Fouad Boussouf, la Cie Chriki’z /Amine Boussa, la Cie Daruma/Milène Duhameau… En 2013, elle intègre la compagnie De Fakto/Aurélien Kairo pour la création La Niña de la Casa Azul puis rejoint la Cie les Associés Crew / Bouba Cissé pour un Amerikkan Dream. En 2014, elle est interprète dans L’iniZio/création 2013 d’Amine Boussa avec lequel elle va collaborer sur l’écriture de Septem/création 2015. La même année, elle entame les premières répétitions de Résistance d’Abdou N’Gom/Cie Stylistik.
Chandra débute la danse à Caracas au sein de la compagnie Coreoarte. A son arrivée en France, elle intègre le CRR de Paris puis le CNSMD de Lyon en danse contemporaine. Après l’obtention de son diplôme, elle reprend la pièce Aringa Rossa d’Ambra Senatore. Parallèlement, elle co-crée la pièce ILS pour la compagnie Dikie Istorii. Par la suite, elle rejoint La Fabrique Fastidieuse pour la pièce en art de rue Vendredi. En 2018, elle collabore avec Le Pôle sur différents projets et actions culturelles en EHPADS et universités. Plus récemment, elle rejoint la compagnie Maguy Marin pour la reprise du Duo d’Eden. Chandra s’intéresse également à d’autres formes d’arts telles que le chant, le théâtre physique, et la performance qu’elle développe au sein du collectif Les Idoles. En 2019, les idoles créent la performance Hoods Flakes. REFACE sera leur deuxième création collective.
Formé par le groupe Phase T qui a remporté deux titres de Champion de France catégorie Bboying et un titre de Vice-Champion du Monde, la compétition a fait partie intégrante de son évolution.
Par la suite, Eddy a cherché à s’ouvrir à d’autres styles en intégrant l’Académie Internationale de la Danse. Cette formation lui a apporté ouverture d’esprit & connaissance mais c’est au chorégraphe Olivier Le François qu’il doit sa compréhension de l’artistique. Après un stage de 2 ans sous sa tutelle et en tant que regard extérieur sur sa pièce «Qu’en sera-t-il d’hier», il a pu mettre ses qualités techniques au service de l’artistique en essayant d’avoir l’approche la plus personnelle qui soit. Cela lui a permis de travailler avec diverses compagnies telles que : José Montalvo, La Cie Käfig, George Momboye, Farid O, Khady Fofana mais aussi de mettre en œuvre des projets plus personnels.
Aujourd’hui, il tend à poursuivre l’enseignement qu’il a reçu tout en continuant de se former avec d’autres chorégraphes et de dépasser ses limites avec la compétition.
Né à Dunkerque en 1990, Aurélien Collewet (dit Biscuit) est un danseur reconnu dans le milieu des battles pour son style contorsionniste et son travail de clé, il est également breakeur et s’élève dans les airs avec une agilité surprenante.
Il participe rapidement à des battles et show. Parallèlement, il entame dès 2010 de nombreuses collaborations, rencontre l’improvisation, le théâtre, le freestyle et la danse debout. Il sera notamment danseur pour le film Ma part du gâteau de Klapisch, et découvrira l’univers de la création à travers le spectacle « Qu’est-ce que c’est que ce cirque » de la cie Just1kiff avant de monter avec elle sur scène aux Solidays 2013 aux côtés de Wax Tailor. Il collabore par la suite avec de nombreux chorégraphes : Michel Schweizer, Marco Berrettini, Gianfranco Poddighe, Olivier Lefrançois, John Martinage , Sébastien Lefrançois, Bouba Tchouda Landrille , Farid Berki , Sandrine Lescourant, Patrick Acogny, Germaine Acogny.
Interprète brésilienne, elle a été formée à l’École Membros à Macaé, dirigée par Paulo Azevedo et Taís Viera puis elle intègrera la compagnie du même nom. Pendant 5 ans elle participera aux créations, laboratoires et ateliers axés sur la notion de hip hop comme corps politique ainsi qu’aux tournées internationales. Elle collabore ensuite avec la compagnie Hibrida pendant 2 ans. Parallèlement, elle réalise différentes résidences de création avec, entre autres, le groupe CENA 11 et la chorégraphe Lía Rodrigues. Elle démarre actuellement sa carrière en tant que chorégraphe avec son solo Resistência dans lequel elle exprime différentes violences faites au corps lors des phases d’apprentissage de la vie.
Après un cursus au CNR de Lyon en danse contemporaine, elle entre dans la compagnie d’insertion professionnelle Coline. Sa formation se poursuit à la Folkwang Hochschule d’Essen puis au CCN de Rillieux-la-Pape alors dirigé par Maguy Marin. Par la suite, Sonia est interprète pour la Cie du Nouveau Jour, le metteur en scène Philippe Labaune, la Cie des 7 sœurs / B.Pinon, la Cie Epiderme / N.Hubert et la Cie Propos / D. Plassard.
Depuis 2012, elle danse pour Bouba Landrille Tchouda au sein de la Cie Malka pour les spectacles Un Casse-Noisette et HS 23.
Titulaire du Diplôme d’Etat en danse contemporaine, elle l’assiste sur de nombreux projets artistiques et pédagogiques.
Né en Corée du Sud, il pratique assidument depuis son enfance coréenne de nombreux arts martiaux qui l’amèneront jusqu’au titre de champion de France. Passionné de danse hip hop, il démarre son apprentissage de manière autodidacte avant d’intégrer les compagnies Rêvolution / Anthony Egea en tant que danseur interprète et pédagogue, et Hors Série / Hamid Ben Mahi, Stylistik, Karine Saporta, Massala…
Les nombreuses rencontres qui ponctuent son parcours l’ont amené à s’initier au classique, modern jazz, contemporain.
Classique, jazz, contemporain ou encore hip hop, Alexandra danse depuis son enfance. Riche d’expériences dansées très diverses, elle a côtoyé l’Australian Dance Theater, Accrorap / CCN de La Rochelle, la Cie Ethadam…
En parallèle, elle se nourrit d’influences nouvelles en pratiquant le tai chi, le qi qong ou encore les percussions corporelles.
Danseur hip hop autodidacte notamment au sein du crew Dalton Posse, il suit en 2006 une formation en arts du cirque à l’EACS de Boulogne afin de s’ouvrir à d’autres disciplines. Fidèle interprète de la Cie Propos, Jim travaille avec Denis Plassard depuis Elle semelle de quoi ? (Carmen) en 2001.
Sa collaboration avec Bouba a commencé avec le spectacle La Preuve par l’Autre, pièce pour 6 danseurs et 3 chorégraphes créée en 2014.
Avide et curieuse de la vie dans ce qu’elle a de vrai et de spontané, Sophie s’intéresse et se questionne sur le mouvement instinctif et immédiat. C’est en ce mouvement de l’instant auquel elle croit, celui-là qui la met en état de danse, d’écoute infime, qui allie le corps à l’esprit. Son parcours diversifié lui permet d’acquérir et d’investir une danse précise, riche et fluide, jouant avec la gravité, le rapport au sol et à l’air. Licenciée en Staps option Danse et titulaire du DE de professeur de danse contemporaine, elle désire vivre et transmettre la danse, en exploiter la richesse et la mettre en scène.
Interprète dans la première pièce chorégraphique de la Cie Malka, Paroles de Sables, Paroles de vent, elle a travaillé avec des chorégraphes de renoms tels Q. Swinningham (P. Bausch) l’assistant en danse théâtre, P. Doussaint, M. Dooge, M.Muller (J. Kylian) dans une comédie musicale. Elle perfectionne l’improvisation avec P. Queneau (C. Forti) et la Cie P. Découflé, avec J. Hamilton et E. Grivet. Elle danse aussi pour la compagnie Accrorap dans le spectacle Pourquoi Pas…
Après avoir suivi une formation au sein de la Compagnie Rêvolution/Anthony Egéa à Bordeaux, Tom travaille sur le mélange entre le hip-hop et les danses académiques. Spécialisé dans le break, il travaille beaucoup dans l’échange et développe une esthétique ponctuée par l’énergie et la gestuelle contemporaines.
Ses influences sont mobilisées pour développer une danse hybride, constamment en mouvement, autour du break et de ses techniques.
Nicolas rencontre le hip-hop presque par hasard il y a plus de 20 ans, passionné il s’essaie à ces disciplines et plus particulièrement le graffiti et la danse. Il se professionnalise très rapidement et se forme et collabore de nombreuses années aux côtés des danseurs des différentes compagnies du réseau (Accrorap, Révolution, Käfig, S’poart, Chute Libre, Malka, Ego…). De part ces multiples rencontres en France et à l’étranger, il apprend, échange, mixe, expérimente, enrichi et nourri sa danse. Des fondations de pure B-Boy métissées de capoeira, de techniques issues du cirque et autre « saltimbanqueries » burlesques, il développe à mesure des années un personnage à part entière, sincère et complet.
Danseuse contemporaine, son béguin pour la culture hip hop, la soul music, et le chant alimentent sa danse fluide et tranchante … Ses premières expériences de création et de la scène avec Christian Bourigault, en 2002 et 2003, seront décisives. L’année suivante, elle contribue à la naissance du « Collectif Dynamo » implanté à Clermont-Ferrand au sein duquel elle œuvre en tant que danseuse et chorégraphe avec la série Oulala, hommage à de grandes artistes de la musique… Elle poursuit son parcours d’interprète avec la Cie Malka, est danseuse-comédienne dans une pièce d’Elsa Carayon – Cie Les Rescapés de la Fosse Commune – et en 2009 danse pour la Cie La Lisière. Elle est l’assistante chorégraphe de Frank Micheletti du Kubilaï Khan Investigations pour le spectacle/performance Constellations 2 où elle danse également ainsi que dans la 3ème édition… Elle travaille également avec la Cie Chute Libre.
Jean-Yves est un danseur malgache membre du collectif Dih’araiky. Bouba Landrille Tchouda l’a rencontré en 2013 à l’occasion du Festival Mitsaka à Toamasina. En compagnie de plusieurs autres danseurs issus de ce collectif, il a notamment participé, en tant qu’interprète, à la création de la pièce ARY IZAHAY ZANY [ Et nous alors… ] présentée lors de l’édition 2014 du Festival Mitsaka et qui viendra en France en 2015, à l’invitation du Théâtre Château Rouge, lors du salon UNITAR accueilli par la Ville d’Annemasse. C’est un danseur engagé, avide d’apprendre et ouvert aux apports nouveaux, techniques et stylistiques. Dans ARY IZAHAY ZANY, il restitue certaines contraintes du quotidien et ses parts de rêves, à travers l’énergie positive de la danse hip hop, avec une puissante volonté de s’unir pour faire ensemble. Bouba a senti, chez ce danseur, une rage, une forme de lutte pour survivre…
la danse n’est pas une activité de loisir, elle est l’expression d’une détermination. Exister !
Lyli Gauthier débute la danse par le jazz et le classique, puis la danse contemporaine. Après une formation à L’IDAI à Grenoble, elle est diplômée de ISTD de tap dance, et obtient en 1998 le DE de professeur de danse, et ensuite le CA en 2012.
Son parcours artistique est riche de rencontre diverses (compagnies, styles de danses), de 2004 à 2008 elle collabore avec la compagnie hip hop Najib Guerfi.
En 2008 elle est assistante-chorégraphe, capitaine et interprète de la comédie musicale « Les aventures de Rabbi Jacob » produit par NDP Project au Palais des Congrès de Paris. Depuis elle travaille régulièrement comme assistante chorégraphe, capitaine et danseuse-comédienne dans des comédies musicales jeune public.
En 2009 elle fonde sa propre compagnie, la Cie I Wanna Be…, et crée et interprète un solo, « Peaux Cibles », prémisse d’une pièce pour cinq danseurs et un bassiste. Le travail de la Cie I Wanna Be… est basé sur les énergies, les sensations, la rythmicité et l’authenticité du geste. En 2010, elle créé un duo « Instantané », pièce chorégraphique issus de la rencontre avec le photographe Reynald Reyland.
En 2013 elle intègre l’équipe artistique du spectacle la preuve par l’autre, pièce en 3 actes pour 6 danseurs, chorégraphié par Bouba Landrille tchouda, Farid Berki et Anne Nguyen.
Alice Pinto Maia, dite Liss funk, se passionne pour la danse Hip-hop en 1996, à Rennes. Elle commence par se former auprès de Yasmin Rahmani du groupe HB2. Plus tard, elle va à la rencontre des grands noms de la danse funkstyle, tel que Greg Campbellock Jr, Tony Gogo, Suga Pop… Dès lors elle se consacre en grande partie au locking. Adepte du Jazz des années 20, des claquettes et de la danse africaine, elle s’inspire de toutes ces influences pour développer son propre style. Des voyages réguliers à l’étranger vont aussi enrichir sa danse, notamment au Japon où la Soul Dance est très mise en avant. Par la suite, Liss Funk découvre le waacking auprès d’Archie Burnett et Ana Sanchez.. A partir de 2006, Alice s exporte dans le monde des battles. Elle en gagnera plusieurs, en solo tel que le « Tokyo Locking Summit », « Au delà des préjugés », « Universal dancers » et d’autres en duo avec son partenaire Willow, du groupe Time Room Lockers.
Actuellement, Liss Funk concilie transmission, voyages, battles, show et créations chorégraphiques. Elle a travaillé sur différents projets en tant qu’interprète avec les compagnies: Par Terre, Magic Electro, Malka, Engrenage et 6e Dimension . En 2015 elle intégre le groupe Time Room Lockers, avec comme première expérience la création d un show locking présenté à la Villette.
Sithy Sithadé Ros est un danseur cambodgien spécialisé en powermoves, footworks et acrobaties. En parallèle il pratique et se forme en arts martiax. Il collabore avec la Cie Stylistik, la Cie Anothaï, la Cie Alexandra N’Possee ou encore la Cie Par Terre et la Cie Malka
Médé s’est formé à la danse hip hop en spécialité breakdance et top rock, puis moderne jazz mais « également en danse contemporaine. Il intègre la Cie les Échos-liés et la Cie RV6K en 2010 puis en 2014 la Cie par terre de Anne Nguyen.
Jimmy Zelou s’est formé auprès de grands chorégraphes tel que Kamel Ouali (Hip Hop), Georges Momboye (danse africaine), Sébastien Lefrançois (Hip Hop), la Cie Boogie Saï (Hip Hop) et Jacques Aunidas (Street Jazz). Il suit également une formation en étude du mouvement dansé avec Yudat. Il participe à la création Addic’son avec la Cie Yudat et La Preuve par l’Autre de Bouba Landrille Tchouda, Anne Nguyen et Farid Berki.
Anouk Viale est une artiste pluridisciplinaire. Comédienne, danseuse, chorégraphe, elle aime bousculer les frontières et mélanger les genres. Attirée par des créations aux univers artistiques multiples, elle aime passer du jeu à la danse, en passant par l’interprétation et la chorégraphie. Elle travaille entre autres avec Marie-Claude Pietragalla, Nicolas Briançon, Jean Paul Gaultier, Robert Carsen, Jean- Claude Gallotta, Mathilda May…
Rémi Autechaud est un danseur polyvalent, aussi bien en danse debout qu’au sol. Il est réputé pour sa gestuelle en popping et waving. Il débute son expérience en 2001 avec les Gremlins Crew. De 2003 à 2005, il travaille avec la compagnie Agogo pour des spectacles musicaux destinés au jeune public. En 2005 il intègre la compagnie Käfig pour la création de Terrain Vague. Depuis, il danse dans de nombreuses pièces de Mourad Merzouki : Récital en reprise de rôle, puis les créations Tricôté (2008), Boxe Boxe (2010), Yo Gee Ti (2013), Pixel (2014), Cartes Blanches (2016) et Vertikal (2018). Il danse également pour la compagnie S’Poart et a dansé pour la pièce Un casse noisette de Bouba Landrille Tchouda .
Énergique, fluide et rythmée, la danse d’Audrey est au carrefour de plusieurs influences et techniques : danses africaines traditionnelles, danse contemporaine, arts martiaux, théâtre et gestuelle sensorielle (méthode Danis Bois). Elle est notamment diplômée d’état en danse contemporaine.
Passionnée par le métissage des genres et des cultures, elle chorégraphie depuis 2011 pour des groupes de musiciens et de danseurs amateurs (les Zurbamateurs, Kachina groove) avec lesquels elle impulse divers projets de création dont l’ouverture du Festival Sens-interdits au Théâtre des Célestins de Lyon et le défilé des Europhonies de Strasbourg (…). À travers ces expériences elle acquiert des compétences qui l’amènent à entraîner et diriger des groupes amateurs pour des prestations de rue, sur le mode de la déambulation ou en statique. Elle intervient ainsi en tant qu’assistante chorégraphe dans le cadre du défilé de la biennale de la danse de Lyon, auprès de la Cie de cirque Virevolt (Aurélie et Martin Cuvelier) en 2012, et plus récemment avec le chorégraphe Bouba Landrille Tchouda (Cie Malka) en 2014.
Jeune danseur interprète originaire de Bordeaux, Nathanaël est spécialisé en breakdance et plus largement en hip hop, avec en parallèle, une très large formation contemporaine suivie au Lullaby Danza Project.
Sa danse est issue du métissage des genres, en particulier le hip hop et le contemporain.
Willy est un jeune danseur malgache membre du collectif Dih’araiky. Bouba Landrille Tchouda l’a rencontré en 2013 à l’occasion du Festival Mitsaka à Toamasina. En compagnie de plusieurs autres danseurs issus de ce collectif, il a notamment participé, en tant qu’interprète, à la création de la pièce ARY IZAHAY ZANY [Et nous alors… ] présentée lors de l’édition 2014 du Festival Mitsaka et qui viendra en France en 2015, à l’invitation du Théâtre Château Rouge, lors du salon UNITAR accueilli par la Ville d’Annemasse. C’est un danseur engagé, avide d’apprendre et ouvert aux apports nouveaux, techniques et stylistiques. Bouba a senti, chez ce danseur, une rage, une forme de lutte pour survivre… la danse n’est pas une activité de loisir, elle est l’expression d’une détermination. Exister ! Willy Razafimanjary est l’un des artistes interprète de la compagnie et également intervenant pédagogique.
Lia Fayollat a commencé la danse dès son plus jeune âge au Centre Eidos en Italie, pays où elle est née et a grandi. Elle y découvre les danses hip hop et contemporaine principalement, mais aussi modern jazz et classique. Elle s’est également formée auprès de la Cie Botega à Rome, dans laquelle elle a travaillé par la suite, puis Rêvolution à Bordeaux. Elle danse aujourd’hui pour de nombreuses compagnies, dont les Cie Malka et Ballet21.